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Politique d'assurance des entreprises

Les employés veulent se sentir en sécurité sur leur lieu de travail et, en tant qu'employeur, il est de votre responsabilité de faire en sorte qu'il en soit ainsi. Toutefois, des accidents peuvent se produire et, afin de mieux protéger les employeurs contre les poursuites judiciaires, les entreprises peuvent être tenues de se prémunir contre tout type de sinistre dans votre société.

Que ce soit, un accident, une maladie, un litige, un dommage et d’heureux événements, il existe différentes solutions pour fournir le meilleur pour nos collaborateurs et pour soi-même.

Cover Group propose des options d'assurance pour toutes les tailles et tous les types d'entreprises. Nous sommes prêts à vous aider à élaborer une solution sur mesure qui offre une couverture optimale pour vos biens, vos actifs et vos employés.

Consultez nos experts pour parler de votre projet.

En premier, merci de placer la responsabilité professionnelle dans les quelques-unes des assurances que nous couvrons.

Quelques-unes des assurances que nous couvrons

L'assurance de responsabilité professionnelle en Suisse est conçue pour protéger les entreprises et les travailleurs indépendants contre les risques financiers liés à des erreurs ou omissions dans la prestation de leurs services professionnels. Elle couvre les dommages causés à des tiers (clients, partenaires, etc.) à la suite d'un manquement à l'obligation de fournir un service de qualité, qu'il s'agisse d'une erreur dans le conseil, un défaut de prestation ou une négligence. Cette assurance est particulièrement importante pour les secteurs où des services spécialisés sont fournis, tels que la médecine, le droit, le conseil financier, ou tout autre domaine impliquant des conseils ou des interventions à valeur ajoutée.

Points clés de l'assurance responsabilité professionnelle :

  1. Objectif de l’assurance responsabilité professionnelle :
    • Cette assurance protège l'entreprise ou le professionnel contre les réclamations en responsabilité civile qui pourraient découler d’erreurs, omissions, ou négligences dans la prestation de services. Elle prend en charge les dommages corporels, matériels ou immatériels causés à des tiers en raison de fautes professionnelles.
  2. Types de couverture :
    • Erreurs professionnelles : Couvre les erreurs de jugement, les omissions, ou les conseils incorrects donnés à des clients qui entraînent des pertes financières ou des préjudices. Par exemple, un avocat pourrait être couvert si une erreur de procédure nuit à l’affaire d’un client.
    • Négligence : Si un professionnel néglige une obligation contractuelle ou réglementaire, et que cela cause des dommages à un tiers, l'assurance couvre les coûts associés à la réparation ou l'indemnisation des victimes. Par exemple, un consultant pourrait être couvert en cas d'erreur de conseil ayant entraîné des pertes pour un client.
    • Responsabilité des produits : Dans certains cas, les entreprises peuvent souscrire une couverture pour la responsabilité des produits qu'elles vendent ou fabriquent, couvrant les dommages causés par des produits défectueux ou non conformes. Cela s'applique notamment dans le secteur industriel ou technologique.
    • Défense juridique : L'assurance peut également inclure une protection juridique, couvrant les frais de défense dans le cas où une action en justice est intentée contre l'entreprise ou un professionnel pour une faute présumée.
  3. Secteurs concernés :
    • Médecine et santé : Les médecins, dentistes, pharmaciens, psychologues, et autres professionnels de la santé souscrivent cette assurance pour se protéger contre les erreurs médicales, comme un diagnostic erroné ou une mauvaise prescription, qui pourraient causer des préjudices à leurs patients.
    • Droit : Les avocats, notaires, et autres professionnels du droit souscrivent cette assurance pour couvrir les risques liés à des erreurs juridiques, comme une procédure incorrecte ou une omission dans la rédaction de documents légaux.
    • Conseil financier : Les conseillers financiers, comptables, auditeurs et gestionnaires de patrimoine sont également concernés. Si un client subit une perte financière suite à un mauvais conseil, cette assurance couvre la réclamation.
    • Technologies et ingénierie : Les entreprises ou les indépendants dans les secteurs de l'ingénierie, de l'architecture ou de la technologie, où des erreurs dans les calculs, les dessins ou les systèmes peuvent entraîner des pertes pour leurs clients.
    • Autres professions : Des secteurs comme le marketing, la gestion d’entreprise, la construction, ou encore l’enseignement peuvent aussi être couverts, selon la nature des services fournis et les risques associés.
  4. Exemples de situations couvertes :
    • Mauvais conseil : Un consultant en stratégie conseille une entreprise sur un projet qui échoue, et la société subit des pertes financières en raison de cette erreur. L’assurance couvre les frais de défense et les indemnisations.
    • Erreur médicale : Un médecin fait une erreur de diagnostic, entraînant des complications pour le patient. L'assurance responsabilité professionnelle prend en charge les indemnités et les frais de procédure judiciaire.
    • Omission dans la prestation de services : Un architecte omet de prendre en compte un détail important dans un plan de construction, entraînant des retards et des coûts supplémentaires. L’assurance couvrira les dommages financiers occasionnés par cette erreur.
    • Violations de normes professionnelles : Si un professionnel enfreint une réglementation ou norme de l’industrie, ce qui entraîne des préjudices pour des clients ou d'autres parties prenantes, l’assurance de responsabilité professionnelle peut intervenir pour couvrir les réclamations.
  5. Exclusions courantes :
    • Comportements intentionnels : L’assurance ne couvre généralement pas les dommages résultant de comportements intentionnels, frauduleux ou criminels. Par exemple, si un consultant délibérément omet d’informer son client d’un risque important, cela ne sera pas couvert.
    • Droits d’auteur et brevets : Les questions liées aux violations de propriété intellectuelle, comme la violation de droits d'auteur ou de brevets, peuvent ne pas être couvertes par l'assurance de responsabilité professionnelle, sauf mention explicite.
    • Accidents corporels ou dommages matériels : Les dommages corporels ou matériels causés à des tiers dans le cadre de l’activité professionnelle peuvent être couverts par une assurance responsabilité civile générale distincte.
  6. Protection juridique incluse :
    • Dans de nombreux cas, l’assurance de responsabilité professionnelle inclut une protection juridique, qui permet de couvrir les frais liés à la défense légale en cas de poursuites. Cela peut inclure les honoraires d’avocat, les frais de procédure et autres coûts associés à la défense de l’entreprise ou du professionnel en cas de réclamation.
  7. Coût de l’assurance :
    • Le coût de l'assurance de responsabilité professionnelle varie en fonction de plusieurs facteurs, tels que la nature de l'activité, le risque associé à cette activité, le chiffre d'affaires de l'entreprise, et le niveau de couverture choisi. Les secteurs à haut risque, comme la médecine ou le droit, peuvent avoir des primes plus élevées en raison de la nature des réclamations possibles.

En résumé :

Elle couvre les dommages matériels, corporels, ou immatériels causés à des tiers, comme des clients ou des partenaires commerciaux, et inclut souvent une protection juridique. Elle est particulièrement importante pour les médecins, avocats, conseillers financiers, consultants, et d’autres professionnels fournissant des services spécialisés. Cette assurance permet de réduire les risques financiers liés à des réclamations pour faute professionnelle, tout en garantissant une défense adéquate en cas de litige.

La LPP (Loi sur la Prévoyance Professionnelle) en Suisse complète l'AVS et a pour objectif de garantir un revenu adéquat aux travailleurs après la retraite, en cas d'invalidité ou de décès. Elle fait partie du 2e pilier du système de prévoyance suisse, qui repose sur un système de cotisations des employeurs et des employés.

Points clés de la LPP :

  1. Assurance obligatoire : La LPP est obligatoire pour les salariés dont le salaire annuel dépasse CHF 22’050 (seuil 2024).
  2. Cotisations : Les cotisations sont partagées entre l'employeur et l'employé, et varient en fonction du salaire et de l'âge de l'employé.
  3. Prestations :
    • Rente de vieillesse : Complément de l'AVS après la retraite.
    • Rente d'invalidité : En cas d'incapacité de travail.
    • Rente de survivant : En cas de décès de l'employé, versée au conjoint ou aux enfants.
  4. Institutions de prévoyance : Les employeurs souscrivent à une caisse de pension ou une institution d'assurance pour gérer les cotisations et prestations.
  5. Transfert des droits : En cas de changement d'employeur, les droits sont transférables à une nouvelle institution de prévoyance.

En résumé, la LPP assure aux travailleurs suisses un complément de revenu à la retraite, en cas d'invalidité ou de décès, via des cotisations partagées entre l'employeur et l'employé.

La LAA (Loi sur l'assurance accidents) en Suisse est une législation qui régit l'assurance des accidents professionnels et non professionnels. Elle vise à protéger les travailleurs en cas d'accident sur le lieu de travail, en déplacement professionnel, ou en dehors des heures de travail.

Points clés de la LAA :

  1. Assurance obligatoire :
    • Accidents professionnels : L'employeur doit obligatoirement assurer ses employés contre les accidents survenant pendant les heures de travail et sur le lieu de travail.
    • Accidents non professionnels : L'employeur doit également assurer ses employés contre les accidents en dehors des heures de travail, mais cette couverture est obligatoire seulement pour les employés à plus de 8 heures par semaine.
  2. Cotisations :
    • L'employeur paye l'intégralité des cotisations pour les accidents professionnels.
    • Pour les accidents non professionnels, l'employé contribue généralement à hauteur de 50% de la cotisation.
  3. Prestations :
    • Soins médicaux : Prise en charge des frais de traitement pour les accidents.
    • Indemnités journalières : Rémunération en cas d'incapacité de travail due à un accident.
    • Rente d'invalidité : Si l'accident entraîne une invalidité permanente, l'assurance verse une rente.
    • Rente de survivant : En cas de décès suite à un accident, des rentes sont versées aux proches (conjoint, enfants).
  4. Couverture étendue : La LAA couvre non seulement les accidents liés au travail, mais aussi les accidents survenant lors de déplacements professionnels ou pendant les loisirs (accidents non professionnels), à condition que l'employeur ait souscrit à cette couverture.

En résumé :

La LAA est une assurance obligatoire pour les accidents professionnels et non professionnels en Suisse. L'employeur doit couvrir les accidents liés au travail, et une couverture pour les accidents en dehors du travail est également requise pour les employés à plein temps. Les prestations incluent des soins médicaux, des indemnités en cas d'incapacité de travail, ainsi que des rentes en cas d'invalidité ou de décès.

La perte de gain en cas de maladie en Suisse est une protection légale qui permet de compenser la perte de revenu d'un salarié lorsqu'il est incapable de travailler à cause d'une maladie.

Points clés sur la perte de gain maladie :

  1. Obligation de maintien du salaire :
    • En vertu du Code des obligations (CO), l'employeur doit maintenir le salaire de l'employé malade pendant une période déterminée. Cette période dépend de l'ancienneté de l'employé dans l'entreprise.
  • Durée du maintien du salaire :
    • Pour un salarié ayant moins de 1 an d'ancienneté, l'employeur doit maintenir le salaire pendant 3 semaines.
    • Après 1 an d'ancienneté, le maintien du salaire peut durer jusqu'à 6 mois, selon les pratiques de l'entreprise ou les conventions collectives.
  1. Assurance perte de gain :
    • Au-delà de cette période, l'employé peut avoir droit à des prestations de l'assurance perte de gain (généralement via une assurance privée souscrite par l'employeur).
    • Cette assurance couvre une partie du salaire perdu en cas de maladie ou d'accident au-delà de la période de maintien du salaire par l'employeur. En règle générale, elle verse 80% du salaire.
  2. Durée de la couverture :
    • La durée pendant laquelle l'employé peut recevoir des indemnités varie en fonction de la police d'assurance souscrite, mais généralement, cette couverture peut durer de 1 à 2 ans en cas de maladie prolongée.
  3. Contributions de l'employeur :
    • L'employeur est libre de choisir de souscrire une assurance de perte de gain maladie pour ses employés, mais cela reste une pratique courante dans de nombreuses entreprises, surtout pour éviter de laisser un salarié sans revenu pendant une maladie prolongée.

En résumé :

En Suisse, l'employeur doit maintenir le salaire de son employé malade pendant une certaine période (généralement entre 3 semaines et 6 mois selon l'ancienneté). Après cette période, une assurance perte de gain (souscrite par l'employeur) prend en charge une partie du salaire perdu, en général 80%. L'objectif est de protéger financièrement les travailleurs pendant les périodes où ils ne peuvent pas travailler en raison d'une maladie.

La protection juridique pour entreprise en Suisse est une couverture d'assurance qui permet à une entreprise de se protéger contre les risques juridiques. Elle couvre les frais liés aux litiges juridiques, que ce soit en défense ou en demande, pour des questions contractuelles, des conflits de travail, des responsabilités civiles, ou des problèmes administratifs.

Points clés de la protection juridique pour entreprise :

  1. Assurance obligatoire ou facultative :
    • La protection juridique pour entreprise est facultative, mais elle est fortement recommandée pour se prémunir contre les coûts élevés des procédures juridiques. Elle n'est pas une obligation légale pour les entreprises, contrairement à d'autres types d'assurances (comme l'assurance accident).
  2. Couverture des frais juridiques :
    • Frais d'avocat : L'assureur prend en charge les honoraires d'avocat engagés pour défendre l'entreprise ou dans le cadre d'une action en justice.
    • Frais de procédure : Cela inclut les frais de justice, les coûts des expertises, et les éventuelles amendes ou indemnités dues suite à un jugement.
    • Protection en cas de litige avec un tiers : L'assurance couvre généralement les litiges avec des fournisseurs, clients, ou même d'autres entreprises.
  3. Domaines couverts :
    • Droit commercial et contractuel : Pour les litiges relatifs aux contrats, aux clauses de non-concurrence, ou aux différends avec des partenaires commerciaux.
    • Droit du travail : En cas de conflits avec les employés, comme un licenciement contesté ou des réclamations liées aux conditions de travail.
    • Responsabilité civile professionnelle : En cas de réclamation pour des dommages causés par l’entreprise (par exemple, des erreurs dans un service fourni).
    • Droit administratif : Pour des problèmes avec des autorités publiques, comme des contestations fiscales ou des amendes administratives.
  4. Exemples de situations couvertes :
    • Litiges contractuels : Si une entreprise est confrontée à un différend avec un fournisseur ou un client concernant des conditions contractuelles.
    • Conflits de travail : Si un employé porte plainte pour harcèlement ou si un employeur fait face à une réclamation pour licenciement abusif.
    • Conflits liés à la responsabilité civile : En cas de réclamation pour des dommages matériels ou corporels causés par l’entreprise.
  5. Coût de l'assurance :
    • Le coût de la protection juridique pour entreprise dépend de la taille de l’entreprise, du secteur d’activité, et des options choisies. En général, il s'agit d'une prime annuelle qui peut être ajustée en fonction des besoins spécifiques de l'entreprise.

En résumé :

La protection juridique pour entreprise est une assurance facultative qui couvre les frais juridiques en cas de litiges. Elle prend en charge les honoraires d’avocat, les frais de justice, et les coûts liés à des procédures légales, en particulier dans les domaines du droit commercial, du droit du travail, de la responsabilité civile, et du droit administratif. Bien qu’elle ne soit pas obligatoire, elle est fortement recommandée pour éviter les coûts élevés associés aux contentieux.

L'assurance choses des entreprises en Suisse est une couverture destinée à protéger les biens matériels d'une entreprise contre différents types de risques tels que les incendies, les dégâts d'eau, le vol, ou les catastrophes naturelles. Elle vise à garantir la continuité de l’activité en cas de sinistre affectant les équipements, le stock, les locaux, ou d'autres biens essentiels à l'entreprise.

Points clés de l'assurance choses des entreprises :

  1. Couverture des biens matériels :
    • L’assurance couvre généralement les biens immobiliers (bâtiments de l'entreprise), les biens mobiliers (équipements, machines, meubles), ainsi que les stocks (matières premières, produits finis).
    • Elle peut aussi inclure les véhicules d’entreprise, les outils, et parfois les marchandises en transit.
  2. Risque couvert :
    • Incendie et dégâts liés au feu : En cas d'incendie, l'assurance couvre les dommages aux biens de l'entreprise.
    • Dégâts d'eau : Couvre les dommages causés par des fuites d'eau, des inondations ou des ruptures de canalisations.
    • Vol et cambriolage : L'assurance prend en charge les pertes matérielles liées à un vol ou un cambriolage dans les locaux de l'entreprise.
    • Catastrophes naturelles : Selon le contrat, l'assurance peut couvrir les dommages causés par des événements naturels comme les inondations, les tempêtes, ou les tremblements de terre.
    • Vandalisme et actes malveillants : Certains contrats incluent aussi la couverture des dommages causés par des actes de vandalisme.
  3. Protection contre les interruptions d’activité :
    • Perte de profit : Certaines polices peuvent inclure une protection pour les pertes financières liées à l'interruption de l'activité causée par un sinistre, comme un incendie qui rend les locaux inutilisables pendant un certain temps.
  4. Évaluation des biens :
    • Valeur à neuf : Dans certains cas, l'assurance couvre les biens à leur valeur à neuf, c'est-à-dire le coût de remplacement sans déduction de la valeur d'amortissement.
    • Valeur vénale : Dans d’autres cas, l'indemnisation se fait sur la base de la valeur vénale, qui correspond à la valeur actuelle du bien, dépréciée par rapport à son âge.
  5. Exemples de biens assurés :
    • Locaux commerciaux : Bâtiments et aménagements de l’entreprise.
    • Équipements et machines : Matériel informatique, machines de production, mobilier de bureau, etc.
    • Stocks : Matières premières, produits en stock, produits finis.
    • Véhicules professionnels : Camions, véhicules utilitaires, etc.
  6. Coût de l’assurance :
    • Le coût de l'assurance dépend de plusieurs facteurs : la taille de l'entreprise, la valeur des biens assurés, les risques spécifiques liés au secteur d’activité, ainsi que les franchises choisies.

En résumé :

L'assurance choses des entreprises protège les biens matériels d'une entreprise contre divers risques tels que l'incendie, le vol, les dégâts d'eau, ou les catastrophes naturelles. Elle couvre les locaux, équipements, stocks, et parfois les véhicules d'entreprise. Cette assurance permet de garantir la continuité de l'activité en cas de sinistre majeur, et peut inclure des options pour compenser les pertes financières liées à l'interruption de l'activité.

L'assurance choses des entreprises en Suisse peut également inclure la couverture des risques d'altération alimentaire, un aspect essentiel pour les entreprises qui manipulent, stockent ou distribuent des produits alimentaires. Ce risque concerne les dommages pouvant affecter les produits alimentaires stockés en raison de conditions non conformes (exemple : température inadéquate, coupure de courant, etc.).

Points clés ajoutés sur le risque d'altération alimentaire :

  1. Risque d’altération des aliments :
    • Définition : L’altération alimentaire se produit lorsque les produits alimentaires deviennent impropres à la consommation, souvent en raison de problèmes de stockage tels qu’une panne de réfrigération, une coupure de courant, une température excessive ou un problème dans la chaîne du froid.
    • Ce risque est particulièrement pertinent pour les entreprises du secteur agroalimentaire, restaurants, supermarchés, entreprises de transport de denrées alimentaires, ou magasins de produits frais.
  2. Couverture spécifique pour l'altération alimentaire :
    • Panne de réfrigération : Si un système de réfrigération ou de congélation tombe en panne, l'assurance peut couvrir la perte de stock alimentaire qui se détériore en raison de la température inadéquate.
    • Perte de marchandises : L'assurance couvre les pannes d'équipement, comme un congélateur ou réfrigérateur défectueux, qui peuvent entraîner la perte de produits alimentaires périssables.
    • Domages liés à la chaîne du froid : L’altération des aliments due à des problèmes dans la chaîne du froid (par exemple, dans le transport ou le stockage) est également souvent incluse, si cela affecte la salubrité et la valeur des produits.
  3. Exemples d'entreprises concernées :
    • Restaurants et traiteurs : Stockage et manipulation de produits alimentaires périssables.
    • Supermarchés et épiceries : Risque d’altération des produits frais (viande, produits laitiers, légumes, etc.).
    • Transport de denrées alimentaires : Altération en cours de transport ou de livraison.
    • Industries agroalimentaires : Fabrication, stockage et distribution de produits alimentaires.
  4. Indemnisation :
    • L'assurance peut couvrir la perte de stock (denrées alimentaires avariées ou détruites), ainsi que les coûts liés à la remise en état des équipements défectueux. L'indemnisation dépend généralement de la valeur du stock et des conditions spécifiques de la police d'assurance.

En résumé :

L'assurance choses des entreprises en Suisse peut inclure une couverture pour le risque d'altération alimentaire, qui protège contre les pertes financières dues à la dégradation de produits alimentaires causée par des défaillances d'équipement, des pannes de réfrigération, ou des problèmes dans la chaîne du froid. Ce type de couverture est essentiel pour les entreprises manipulant des produits périssables, telles que les restaurants, supermarchés, et entreprises de transport de denrées alimentaires, afin de garantir la qualité et la sécurité des produits et éviter des pertes financières importantes.

Les assurances cyber en Suisse sont des polices d'assurance spécifiquement conçues pour protéger les entreprises contre les risques liés à la cybercriminalité, aux violations de données et aux incidents informatiques. Elles couvrent les pertes financières et les coûts associés aux cyberattaques, ainsi que les dommages aux systèmes informatiques et les conséquences légales ou réglementaires.

Points clés de l'assurance cyber :

  1. Objectif de l’assurance cyber :
    • L’assurance cyber vise à protéger les entreprises contre les risques numériques liés à l’exploitation des systèmes informatiques, des réseaux et des données. Elle couvre les entreprises face aux menaces comme les cyberattaques, les violations de données, les pannes informatiques, et les intrusions malveillantes.
  2. Couverture des risques :
    • Cyberattaque (hacking) : Couvre les dommages causés par des pirates informatiques qui accèdent illégalement aux systèmes informatiques de l'entreprise, volent des informations sensibles ou perturbent l’activité de l'entreprise.
    • Violation de données personnelles : En cas de fuite de données personnelles ou confidentielles (ex : informations clients), l’assurance couvre les frais liés à la notification, la gestion de crise, et les amendes légales possibles.
    • Panne ou défaillance des systèmes : L’assurance couvre les pertes financières dues à des pannes informatiques, des virus ou des logiciels malveillants qui rendent les systèmes informatiques inaccessibles ou inutilisables.
    • Ransomware : Couvre les coûts liés à une attaque de type rançongiciel, où les systèmes de l'entreprise sont verrouillés et un paiement est demandé pour les déverrouiller.
    • Responsabilité légale : En cas de violation de la loi en matière de protection des données (par exemple, le non-respect du RGPD), l’assurance peut couvrir les frais juridiques et les amendes.
  3. Prestations de l’assurance cyber :
    • Assistance en cas d'incident : En cas de cyberattaque ou d'incident, l'assurance fournit une assistance immédiate, qui peut inclure l'expertise technique pour restaurer les systèmes et minimiser les impacts.
    • Frais de notification : Si des données personnelles sont compromises, l'assurance peut couvrir les frais liés à la notification des victimes (clients, employés) et à la mise en place de services de surveillance de crédit ou de protection contre le vol d'identité.
    • Réglementations et amendes : L’assurance couvre également les amendes imposées par des autorités de régulation en cas de violation des lois sur la protection des données, comme le RGPD en Europe.
  4. Exemples de situations couvertes :
    • Violation de données : Un pirate informatique accède à une base de données client contenant des informations personnelles sensibles, ce qui entraîne une violation des lois sur la protection des données.
    • Attaque par ransomware : Une entreprise subit une attaque de ransomware, ce qui bloque l'accès à ses systèmes informatiques jusqu'au paiement d'une rançon.
    • Défaillance de système : Un virus infecte les serveurs de l'entreprise, entraînant des interruptions de service qui affectent les opérations commerciales et la productivité.
  5. Coût de l’assurance cyber :
    • Le coût de l'assurance cyber varie en fonction de plusieurs facteurs, tels que la taille de l'entreprise, le secteur d'activité, le type de couverture choisie, et le niveau de risque associé aux systèmes informatiques de l'entreprise.
    • Les entreprises doivent évaluer les risques auxquels elles sont exposées pour choisir la couverture la plus adaptée.
  6. Prévention et gestion des risques :
    • Certaines polices d'assurance cyber incluent également des services de prévention, tels que des évaluations de sécurité informatique, des formations pour les employés et des outils de protection contre les cyberattaques. Cela permet à l'entreprise de mieux se préparer et réduire le risque d'incident.

En résumé :

L'assurance cyber en Suisse protège les entreprises contre les risques liés aux cyberattaques, aux violations de données, aux pannes informatiques, et aux incidents de sécurité. Elle couvre une gamme de frais, tels que les frais de restauration des systèmes, les notifications aux clients, les amendes légales et les coûts liés aux attaques de ransomwares. Bien qu’elle ne soit pas obligatoire, l’assurance cyber est devenue essentielle pour les entreprises, notamment en raison de l’augmentation des cybermenaces et des obligations légales de protection des données.

Les assurances véhicules à moteur pour risques professionnels en Suisse couvrent les véhicules utilisés dans un cadre professionnel, incluant une large gamme d'activités telles que les services de taxi, les VTC, la location de véhicules, les auto-écoles, les chauffeurs routiers, les livreurs, et bien d'autres secteurs où des véhicules sont utilisés dans un contexte professionnel. Ces assurances permettent de protéger les entreprises contre les risques liés à l’utilisation de véhicules pour des activités professionnelles variées.

Points clés de l'assurance véhicules à moteur pour risques professionnels :

  1. Assurance obligatoire :
    • En Suisse, l'assurance responsabilité civile (RC) pour les véhicules à moteur est obligatoire. Cela couvre les dommages causés à des tiers (personnes, véhicules, biens) lors d’un accident impliquant un véhicule de l'entreprise, que ce soit pour des déplacements professionnels ou personnels.
    • Cette couverture est incluse dans l’assurance de base des véhicules, mais les entreprises peuvent souscrire des extensions pour mieux gérer des risques spécifiques, en fonction de la nature de leur activité professionnelle.
  2. Types de couverture :
    • Responsabilité civile (RC) : Couvre les dommages corporels et matériels causés à des tiers lors d’un accident. Elle s’applique quel que soit le type de véhicule ou l’activité professionnelle. Par exemple, si un chauffeur de taxi ou de VTC cause un accident, l'assurance prendra en charge les indemnisations des victimes.
    • Collision : Couvre les réparations du véhicule de l’entreprise en cas de collision, qu'elle soit responsable ou non. Cela inclut les accidents causés par des chauffeurs routiers, des livreurs ou des conducteurs de véhicules de location.
    • Vol et vandalisme : Cette couverture protège contre la perte ou les dommages en cas de vol ou de vandalisme, incluant le contenu du véhicule comme des outils ou des marchandises, par exemple, pour les livreurs ou les véhicules de transport de biens.
    • Incendie et dégâts naturels : Couvre les dommages causés par des événements comme un incendie, des tempêtes ou des inondations, ce qui est essentiel pour les entreprises ayant des flottes de véhicules exposées à ces risques.
    • Assistance et dépannage : En cas de panne ou d'accident, l'assurance peut inclure une couverture d’assistance permettant de dépanner le véhicule ou de le remplacer pour que l'activité professionnelle puisse continuer sans trop d’interruption.
  3. Risques spécifiques pour différents secteurs :
    • Taxis et VTC : Les entreprises de taxi et les conducteurs de VTC doivent être couverts pour les risques liés au transport de passagers. Cela inclut la responsabilité civile pour les accidents qui affectent les passagers ou les piétons, ainsi que la couverture des véhicules en cas de dommage, de vol ou d’accident.
    • Location de véhicules : Les entreprises de location de véhicules doivent avoir une couverture pour les dommages causés aux véhicules qu’elles louent, que ce soit par les clients ou lors de la restitution du véhicule. L'assurance doit également prendre en charge les dommages causés à des tiers si un client de location provoque un accident.
    • Auto-écoles : Les véhicules utilisés par les auto-écoles pour la formation des conducteurs doivent être couverts en cas d’accident, tout en incluant une responsabilité civile pour les élèves et les autres usagers de la route.
    • Chauffeurs routiers : Les chauffeurs de poids lourds ou les conducteurs de camions doivent être couverts pour les risques liés aux trajets longue distance, y compris les dommages causés aux autres véhicules, aux infrastructures, ou aux marchandises transportées.
    • Livreurs : Les entreprises de livraison, notamment dans le cadre de la livraison de colis ou de produits alimentaires, doivent avoir une assurance couvrant les accidents, le vol ou les dommages aux marchandises en transit.
  4. Assurance dommages aux biens transportés :
    • Certaines polices d'assurance peuvent inclure une couverture spécifique pour les biens transportés dans les véhicules professionnels. Cela est particulièrement pertinent pour les livreurs, les chauffeurs routiers et les entreprises de transport de biens, qui risquent de perdre ou d’endommager les marchandises pendant le trajet.
  5. Assurance pour les employés :
    • Si des employés utilisent des véhicules professionnels dans le cadre de leur travail (chauffeurs de taxi, livreurs, chauffeurs routiers, etc.), une assurance accidents est nécessaire pour couvrir les dommages corporels subis par ces employés lors d’un accident. Cela garantit également que les indemnités de perte de gain et les frais médicaux soient pris en charge.
  6. Coût de l’assurance :
    • Le coût de l'assurance dépend de nombreux facteurs, tels que la nature de l’activité, la taille de la flotte de véhicules, le type de véhicule, et le niveau de couverture choisi. Par exemple, une entreprise ayant une flotte de poids lourds ou de véhicules de location aura des primes d’assurance plus élevées qu'une entreprise de taxis ou de VTC.

En résumé :

Les assurances véhicules à moteur pour risques professionnels en Suisse couvrent une large gamme d'activités professionnelles, y compris les taxis, les VTC, la location de véhicules, les auto-écoles, les chauffeurs routiers, les livreurs, et d'autres secteurs utilisant des véhicules pour leur activité. Elles incluent la responsabilité civile, les dommages aux véhicules, le vol, les dégâts naturels, l'assistance dépannage, ainsi que des couvertures spécifiques pour les biens transportés et les employés. Ces assurances permettent aux entreprises de gérer les risques liés à l’utilisation de véhicules dans un cadre professionnel et de protéger les actifs et les employés contre les conséquences financières des accidents et des incidents liés aux véhicules.

L'assurance de transport de marchandises en Suisse et à l'international est essentielle pour protéger les entreprises contre les risques liés au transport de biens. Que ce soit pour le transport national ou international, cette assurance couvre les pertes, dommages ou vol des marchandises durant leur acheminement par voie terrestre, maritime, aérienne ou multimodale. Elle est adaptée aux besoins spécifiques des entreprises qui expédient ou reçoivent des marchandises dans le cadre de leurs activités commerciales.

Points clés de l'assurance de transport de marchandises :

  1. Objectif de l’assurance de transport de marchandises :
    • Cette assurance vise à protéger les biens transportés contre une série de risques qui peuvent survenir pendant le transport, qu’il soit national ou international. Elle garantit que les marchandises sont couvertes contre des événements imprévus, comme des accidents, des vols, des dégâts causés par des conditions météorologiques extrêmes, des incidents en cours de transport, ou des erreurs humaines.
  2. Types de couverture :
    • Assurance tous risques : Couvre tous les types de dommages ou pertes, sauf ceux spécifiquement exclus. C’est la couverture la plus complète et elle protège contre les dommages causés par des accidents, des incendies, des intempéries, ou des risques en mer, par exemple.
    • Assurance risques spécifiques : Couvre uniquement certains types de risques, comme les dommages dus à la collision, les vols, ou les dommages pendant le transport terrestre. Cela peut être plus économique mais offre une protection moins large.
    • Assurance contre le vol : Couvre les pertes dues au vol des marchandises, que ce soit pendant le transport ou lors du stockage temporaire des biens.
    • Assurance en cas de retard : Certaines polices incluent une couverture en cas de retard dans la livraison des marchandises, ce qui peut être crucial pour les entreprises qui dépendent de livraisons à temps, comme celles dans les secteurs de la vente au détail ou de la production industrielle.
  3. Couverture pour le transport national et international :
    • Transport national : En Suisse, l'assurance de transport couvre les biens durant leur trajet à l’intérieur du pays, que ce soit par camion, train, ou autre moyen de transport terrestre. Les entreprises doivent veiller à ce que leurs marchandises soient couvertes pour les risques liés à des accidents, des pannes de véhicules ou des conditions météorologiques difficiles.
    • Transport international : Pour les envois à l’international, l’assurance prend en charge les risques qui peuvent survenir pendant le transport transfrontalier, y compris les risques spécifiques au transport maritime ou aérien. Cela inclut les risques liés aux changements de réglementation dans les pays d’importation et d’exportation, les douanes, ainsi que la manipulation des marchandises dans les ports ou les aéroports.
  4. Risques spécifiques à l'international :
    • Transport maritime : Le transport de marchandises par bateau expose les biens à des risques spécifiques, tels que la tempête, les accidents en mer, ou les dommages liés à l'humidité (ex. : marchandises détériorées par l'eau de mer). L’assurance maritime peut couvrir ces risques.
    • Transport aérien : Les risques liés au transport aérien incluent les dommages dus aux conditions climatiques (ex. : turbulences), les incidents pendant le vol, ou les retards liés aux contrôles de sécurité dans les aéroports. L’assurance aérienne couvre ces aspects pour protéger les expéditeurs.
    • Transport terrestre international : Le transport terrestre à travers des frontières nationales peut également comporter des risques supplémentaires, comme les vols en transit, les accidents routiers dans des pays étrangers, ou les risques liés à la distance parcourue. L'assurance terrestre internationale permet de garantir les marchandises dans ces situations.
  5. Assurance de transport multimodal :
    • Le transport multimodal implique l’utilisation de plusieurs modes de transport (par exemple, maritime, terrestre, et aérien) pour acheminer les marchandises. Cette forme d’assurance couvre l’intégralité du parcours de transport, en prenant en compte les différents risques spécifiques à chaque mode de transport tout au long du trajet.
  6. Exemples de marchandises couvertes :
    • Produits alimentaires : Pour les entreprises qui expédient des produits alimentaires, l’assurance peut couvrir les risques liés à la détérioration des produits en raison de la température inadéquate ou des retards dans la livraison.
    • Produits électroniques ou fragiles : Pour les biens fragiles comme les appareils électroniques, l'assurance couvre les risques de casse ou de dommages dus à des manipulations incorrectes.
    • Marchandises en vrac ou lourdes : Les biens comme les matériaux de construction ou les équipements lourds sont également couverts contre les dommages physiques et les pertes dues aux risques de transport.
  7. Responsabilité et bénéficiaires de l'assurance :
    • L’expéditeur, le destinataire, ou même l’entreprise de transport peuvent être les bénéficiaires de l’assurance, selon la façon dont l’accord est structuré. En fonction du contrat, l’entreprise qui expédie les marchandises peut souscrire une assurance pour couvrir la perte ou les dommages, ou bien c'est l'acheteur des biens qui souscrit à l’assurance.
  8. Coût de l'assurance :
    • Le coût de l’assurance de transport dépend de nombreux facteurs : la nature des marchandises, leur valeur, la distance du transport, et les moyens utilisés (maritime, aérien, terrestre). Les assurances pour le transport international tendent à être plus coûteuses en raison des risques accrus liés aux trajets longs et aux risques géopolitiques.

En résumé :

L'assurance de transport de marchandises en Suisse et à l'international protège les entreprises contre les risques liés à la perte, au vol, ou aux dommages des biens pendant leur transport. Elle couvre une large gamme de risques, de l'assurance tous risques à des couvertures plus spécifiques en fonction du mode de transport (terrestre, maritime, aérien ou multimodal). Elle est essentielle pour garantir la sécurité des marchandises, réduire les coûts imprévus dus aux accidents, aux retards, ou aux risques liés à la législation douanière, et protéger les entreprises contre des pertes financières importantes.